Juste la fin du monde
Jean-Luc Lagarce
Image du spectacle

Juste la fin du monde

Johanny Bert, Jean-Luc Lagarce

Après de longues années d’absence, Louis rend visite à sa famille avec le fardeau d’une terrible nouvelle. Mais comment exprimer l’indicible aux siens ?

30 ans après la disparition de Jean-Luc Lagarce, Johanny Bert revisite sa pièce culte.

Dans un espace onirique où des objets en suspension se font témoins des générations passées, Juste la fin du monde dépeint par la force de mots et de silences éloquents, la complexité des liens familiaux.

Podcasts

  • France culture

    "Avoir du Jean-Luc Lagarce plein le cœur et le corps, ça rend très heureux"

    30 ans après la mort en 1995 de Jean-Luc Lagarce, le metteur en scène Johanny Bert et le comédien Vincent Dedienne mettent à l'honneur cette grande figure du théâtre dans une adaptation de son journal, "Il ne m'est jamais rien arrivé" et de sa pièce "Juste la fin du monde".

  • France inter

    Céleste Brunnquell et Vincent Dedienne pour "Juste la fin du monde"

    Céleste Brunnquell et Vincent Dedienne sont les invités de La Bande Originale pour "Juste la fin du monde", au Théâtre de l'Atelier, à Paris.

Critiques

  • France inter
    par Le Masque et la plume

    "Juste la fin du Monde", quand Johanny Bert réadapte Lagarce : pari réussi ou fausse bonne idée ?

    Si certains de nos critiques louent l'interprétation des acteurs, notamment celle de Vincent Dedienne, d'autres déplorent une mise en scène plate, dénuée d'émotions, une direction et un décor ratés.

  • Sortir à Paris
    par Philippine de Sortiraparis

    S'il y a une chose que l'on a adorée, c'est la mise en scène !

    Extrêmement bien pensée, la mise en scène de Johanny Bert s'affiche comme un tableau en mouvement devant nos yeux. La journée s'écoule et les décors changent, en se posant délicatement du plafond au sol, les décors étant tractés par un cordon. 

  • Têtu
    par Franck Finance-Madureira

    Jean-Luc Lagarce interprété deux fois par Vincent Dedienne, un bonheur au carré

    Le comédien Vincent Dedienne y joue un extrait du journal de l'écrivain gay mort du sida, Il ne m'est rien arrivé, suivi de sa pièce la plus connue, Juste la fin du monde. Un doublé incontournable de ce début d'année !

  • Le Monde
    par Joëlle Gayot

    Une soirée en demi-teinte au Théâtre de l’Atelier

    Vincent Dedienne est à l’affiche, à Paris, de deux spectacles mis en scène par Johanny Bert. Si le seul-en-scène tiré du « Journal » de l’auteur est émouvant, la pièce, qui peine à restituer la langue du dramaturge, ne convainc pas.

    (abonnés)
  • Les Inrocks
    par Fabienne Arvers

    Vincent Dedienne plonge en apnée dans l’écriture de Jean-Luc Lagarce

    “Il ne m’est jamais rien arrivé” et “Juste la fin du monde”, deux spectacles en une soirée dirigés par Johanny Bert, où Vincent Dedienne se confronte à la vie et à l’œuvre du dramaturge Jean-Luc Lagarce.

    Recommandation :
    Choix de la rédaction
  • Entrevue
    par Alice Leroy

    Une mise en scène originale au Théâtre de l’Atelier

    Une approche originale et intrigante du texte, avec une mise en scène personnelle et audacieuse. Le spectacle est accompagné d’une adaptation du Journal de Lagarce, Il ne m’est jamais rien arrivé, présenté en prélude à la pièce.

  • Marianne
    par Julien Vallet

    "Juste la fin du monde" avec Vincent Dedienne : oubliez Xavier Dolan, cette version est bien meilleure

    Avec Vincent Dedienne dans le rôle-titre, le metteur en scène Johanny Bert propose, au théâtre de l'Atelier, à Paris, une relecture du célèbre huis clos familial de Jean-Luc Lagarce misant davantage sur l’humour et l’émotion, à mille lieues de l’adaptation hystérique qu’en avait tirée Xavier Dolan au cinéma en 2016.

    (abonnés)
  • Le Figaro
    par Nathalie Simon

    Vincent Dedienne totalement habité par Jean-Luc Lagarce

    Au Théâtre de l’Atelier, le comédien fait revivre l’auteur mort du sida dans Juste la fin du monde et Il ne m’est jamais rien arrivé.

  • Théâtre du blog
    par Christine Friedel

    La parole, c’est la grande affaire.

    Un mot de trop ou de pas assez et l’un ou l’autre se sent atteint, blessé, mal aimé, ou pas aimé du tout. A l’exception de la mère qui essaye de réunir la famille, de l’envelopper de douceur. Tous sont à vif. Antoine, le cadet, en particulier : tout effleurement est une agression, toute parole, une attaque et il faut s’arranger avec le langage.

  • Artistik rezo
    par Hélène Kuttner

    Jean-Luc Lagarce et Vincent Dedienne : le théâtre, l’écriture et la vie

    À travers deux spectacles mis en scène par Johanny Bert, « Le Journal » et « Juste la fin du monde », Vincent Dedienne fait revivre l’auteur de théâtre français mort du SIDA à 38 ans, en 1995. Une plongée spectrale et terriblement vivante que le comédien frémissant, avec d’autres interprètes, nous offre en partage au Théâtre de l’Atelier.

  • Publik Art
    par Amaury Jacquet

    « Juste la fin du monde » : l’impossible fin de partie de Jean-Luc Lagarce

    La notoriété de Jean-Luc Lagarce, metteur en scène et dramaturge, mort prématurément du SIDA à l’âge de 38 ans en 1995, n’a cessé d’augmenter depuis sa disparition. S’il n’a pas été reconnu de son vivant comme un auteur important, c’est que son langage théâtral était trop en avance, trop en décalage sur son époque.

    Recommandation :
    ****
  • Un fauteuil pour l'orchestre
    par Denis Sanglard

    La langue de Jean-Luc Lagarce

    Cette écriture si singulière, cette petite musique si particulière, unique et reconnaissable entre toutes qui est la marque d’un immense auteur.

  • Les Échos
    par Philippe Chevilley

    « Juste la fin du monde » : valse mortelle au Théâtre de l'Atelier

    Johanny Bert met en scène le chef-d'oeuvre de Jean-Luc Lagarce dans un décor superbe d'objets flottants. Vincent Dedienne incarne trop timidement le personnage de Louis, venu annoncer à sa famille sa mort prochaine. Le jeu des acteurs est perfectible, mais la fulgurance du texte fait mouche.

    (abonnés)
  • Télérama
    par Fabienne Pascaud

    Vincent Dedienne : “L’écriture de Jean-Luc Lagarce est un parc d’attractions pour mes nostalgies”

    Le comédien incarne Louis dans “Juste la fin du monde” et adapte le journal du dramaturge disparu il y a trente ans dans l’éblouissant seul-en-scène “Il ne m’est jamais rien arrivé”, tous deux à l’Atelier. Il nous en parle.

  • Théâtre Saint-Louis - Pau | Pau
    08 avr. > 09 avr. 2025
  • Théâtre de la Croix-Rousse | Lyon
    01 avr. > 05 avr. 2025
  • Le Sémaphore | Cébazat
    25 mars > 27 mars 2025
  • Théâtre de L'Atelier | Paris
    15 janv. > 22 mars 2025