Pourama Pourama

Pour un mois pour un an
Couverture du livre "Pourama Pourama (Pour un mois pour un an)"

Dernières critiques

  • Gurshad Shaheman
    Un fauteuil pour l'orchestre
    par Denis Sanglard

    Entrer dans cette chambre des mystères

    Pourama Pourama, titre énigmatique et clef de trois récits qui se répondent l’un l’autre. Objet hybride, entre théâtre, installation sonore et performance où le spectateur est le centre d’un dispositif, témoin et acteur tout à la fois d’un récit d’apprentissage et d’émancipation.

    Recommandation :
    fff
  • Gurshad Shaheman
    Le Figaro
    par Armelle Héliot

    Gurshad Shaheman, flamboyant rebelle

    Dans Pourama Pourama, traversée de sa vie, Gurshad Shaheman plonge au plus profond de ses souvenirs. Avec lucidité, audace, courage. Un spectacle aussi fascinant que troublant.

  • Gurshad Shaheman
    La Terrasse
    par Anaïs Heluin

    Triptyque autofictionnel

    Il y a cinq ans, le comédien et metteur en scène iranien Gurshad Shaheman se faisait connaître en France avec Pourama Pourama. Un passionnant triptyque autofictionnel traversé par les questions du genre et de l’exil, qu’il continue de porter avec force et générosité.

  • Gurshad Shaheman
    La Libre
    par Marie Baudet

    "L'identité ne se découvre pas, elle se construit"

    Auteur, traducteur et performeur, Iranien d'origine, émigré en France, installé aujourd'hui en Belgique, Gurshad Shaheman se raconte à travers le triptyque "Pourama Pourama", à découvrir absolument, au Théâtre de Liège du 17 au 19 janvier.

    (abonnés)
  • Gurshad Shaheman
    Le club Mediapart
    par Dashiell Donello

    Un conte touché, goûté et échangé

    Gurshad Shaheman a écrit trois contes. Le premier traite de son enfance pendant la guerre Iran-Irak. Le second de son adolescence avec sa mère. Le dernier de l'adulte en exil, en quête de reconnaissance. Le tout forme Pourama pourama.

  • Gurshad Shaheman
    Les Trois coups
    par Marie Lobrichon

    Des limites de la performance en milieu bobo

    « Touch Me », « Taste Me », « Trade Me » : la performance en trilogie de Gurshad Shaheman, bien léchée et tout en cohérence théorique, peine à susciter l’émotion… et révèle les démons exhibitionnistes d’un public bobo.