Pascal Rambert signe une fresque familiale et politique féroce avec notamment Stanislas Nordey et Jacques Weber. Sur vingt ans, une tribu bourgeoise de gauche s’aime, se déchire et se débat avec ses idéaux éteints.

Une famille. Des événements, du temps : mariages, enterrements. Entre les deux, Pascal Rambert déploie une physique des âmes.

D'où vient, alors, ce désespoir qui sourd chez chacun d'eux malgré sa réussite ? C'est cette question que creuse, deux heures durant, cette pièce.

Au Théâtre de la Ville, l’auteur et metteur en scène orchestre la désintégration d’une élite familiale sur fond de désillusions politiques.  Pascal Rambert signe l’un de ses spectacles les plus politiques.

L’histoire d’une famille où nouvelles et anciennes générations de comédiens, dont Jacques Weber et Anne Brochet, s’affrontent pour notre plus grand plaisir.

Forte d’un casting de luxe pour décrypter la déchéance d’une famille qui ne s’entend pas, la pièce, présentée au théâtre de la Ville à Paris pour dix jours.

La dernière pièce de Pascal Rambert « Les conséquences » est un panier garni : deux enterrements et deux mariages. L’auteur-metteur en scène retrouve une pléiade d’actrices et d’acteurs pour qui il aime écrire.

Une saga familiale transgénérationnelle qui s’étendra jusqu’en 2029. Corps survoltés, langage brûlant, acteurs habités, font de cette création un extraordinaire moment artistique dans le cadre du Festival d’Automne.

Nous sommes dans un espace blanc et neutre, à la fois réduit et gigantesque, une sorte de chapiteau, abritant trois grandes tables cachant presque des fauteuils en plastique blanc,…

L’architecte du langage s’attaque à tous les thèmes de sa vie : l’amour, la famille et la mort, dans un flow sans ponctuation sur le temps qui passe inéluctablement.