Une côte sur la table

Una costilla sobre la mesa
Une côte sur la table
Image du spectacle

The Scarlet letter

Angélica Liddell

De Sidney Olcott à Wim Wenders, de Hugo Pratt aux scénaristes de Nip/Tuck ou de Mentalist, nombreux sont les auteurs qui se sont inspirés de l’œuvre fondatrice de Nathaniel Hawthorne, notamment de La Lettre écarlate publiée en 1850. Il y a là matière à inspirer l’artiste, metteure en scène, auteure et interprète espagnole Angélica Liddell. Son œuvre entière, depuis La Maison de la force jusqu’à la Trilogie de l’infini, est le reflet de sa souffrance intérieure en écho aux violences du monde.

Si c’était autrefois la religion qui censurait, rejetait, c’est aujourd’hui l’empire de la raison qui domine la pensée puritaine de notre société. Dans un déchirant cri de souffrance, Angélica Liddell nous rappelle que l’humanité trouve son fondement dans la culpabilité du premier homme, c’est sur cette base qu’elle libère ses tourments, porteuse des stigmates de nos infractions à la morale et de nos mauvaises consciences.

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  • France inter
    par Laure Adler

    Libre, Angelica Liddell

    A la fois auteure, metteuse en scène et interprète, chacune de ses créations est un évènement. Son nouveau spectacle « The Scarlett Letter » s’inspire de l’œuvre de Nathaniel Hawthorne, le premier romancier américain du dix-neuvième siècle.