Dernières critiques
-
Un fauteuil pour l'orchestrepar Denis SanglardAnalphabet est un fantôme, une folle andalouse, un esprit qui chuchote…
Un violon pleure une plainte d’écorchée, un corps pâle et fantomatique surgit lentement de l’ombre comme à regret, des bras longs et graciles dessinent d’étranges et fines arabesques, soulignent le récit d’amours mortes, la morsure du désir, la soumission devant la violence qui aveugle.
-
Arts Mouvantspar Sophie TrommelenFantôme cabarétique et présence spectrale
Le metteur en scène et performeur andalou Alberto Cortés apparaît dans la pénombre. Dans un jeu de clair-obscur, depuis un hypothétique Éden, flottant sur un tapis végétal, il déploie l’infini de son poème performé.
-
Scenewebpar Vincent Bouquet« Analphabet », la poétique spectrale d’Alberto Cortés
Malgré la présence magnétique et singulière de son concepteur et interprète, Analphabet d’Alberto Cortés effleure, plus qu’elle ne la prend à bras-le-corps, la question de la violence machiste et des blessures causées par certaines relations entre hommes.
-
Libérationpar Cécile Daumas«Analphabet» d’Alberto Cortés, poétique égocentrique
Au théâtre de la Bastille, le performeur espagnol, qui se produit pour la première fois en France, narre par le geste, les mots et l’autodérision ses amours traversées par la violence.
(abonnés) -
Téléramapar Emmanuelle BouchezLes meilleures pièces à voir à Paris
Espagnol, Alberto Cortés chante et l’on reconnaît tout de suite qu’il est question de corps et de désir. Jusqu’alors inconnu en France, l’Andalou sidère par sa présence hypnotique de faune sorti des plus anciennes mythologies.
Recommandation :TTT(abonnés) -
Le Mondepar Joëlle GayotLes « identités liquides » d’Alberto Cortes
Le metteur en scène et performeur espagnol, en perpétuelle quête de poésie et de métamorphoses, est invité pour la première fois en France avec sa pièce « Analphabet ».
(abonnés) -
Les Inrockspar Fabienne ArversDeux solos en état de grâce pour l’ouverture du festival Actoral
Avec “Puff” d’Alice Ripoll et “Analphabet” d’Alberto Cortés, on entre de plein fouet dans l’édition 2025 d’Actoral, ode majeure à la fragilité, ses ressorts, sa résistance, et sa beauté indocile.
(abonnés) -
Mouvementpar Thomas CorlinAlberto Cortés : le pédé-paysage
À quoi reconnait-on le poète ? Aux rapprochements inédits qu’il opère, à sa parole cosmique, décollée de tout thème. Alberto Cortés en est. Dans un solo possédé, l’Espagnol transforme son expérience de « pédale andalouse » en un panache d’apparitions romantiques ou modernes,
-
Coups d'Œilpar Olivier Frégaville-Gratian d'AmoreAnalphabet : Les démons de minuit d’Alberto Cortés
L’artiste qui se définit comme un « pédé andalou » a présenté son solo hanté, queer et poétique Une traversée entre fantômes, clairs-obscurs et blessures intimes
-
Cult. newspar Amelie Blaustein Niddam« Analphabet », le diable au corps d’Alberto Cortès
Le méta-théâtre serait-il la nouvelle tendance des scènes les plus contemporaines ? Comme un écho non choisi avec Brotherhood de Carolina Bianchi, l’immense révélation Alberto Cortès s’attaque lui aussi à ses propres entrailles pour négocier avec ses démons. Magistral.
