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![Couverture du livre "Troïlus et Cressida"](/sites/default/files/styles/ouvrage_auteur_complet/public/image/SHAKESPEARE_TROILUS_TRADUCTIONS.jpg?itok=PoFeo_RF)
« Le péché d’orgueil dans l’œuvre de Shakespeare peut être à l’origine des tempêtes‚ des éclipses‚ un déchaînement dans les éléments. Mais le monde ne déploie plus ses décors dans Troïlus et Cressida. Il n’y a ni feu‚ ni air‚ ni eau‚ ni terre. La mer n’est plus que le lieu d’échanges commerciaux. L’enveloppe sécurisante des éléments semble s’être déjà dissoute et l’homme seul avec lui-même subit les conséquences du mal qu’il génère en lui-même. »
Margaret Jones-Davies