La langue devient un racloir qui cravache les personnages, ainsi écorchés jusqu’à l’os.

Image du spectacle
Guillaume Barbot, Jean-Luc Lagarce
Un fauteuil pour l'orchestre
par Denis Sanglard

La langue devient un racloir qui cravache les personnages, ainsi écorchés jusqu’à l’os.

C’est une mise en scène enflammée par la douleur et la colère, que l’amour ne s’avouant pas, ou si peu, ou si mal ne peut cautériser.